Pourquoi était-ce important pour vous de venir à la Convention nationale de PRS ?

D’abord parce qu’on a mené ensemble la bataille du référendum et à travers ce combat on s’est aperçu que l’on portait la même analyse et aussi les mêmes propositions. On sent aujourd’hui qu’il faut faire bouger la gauche. On ne peut pas laisser passer l’éléphant social libéral. Il faut que la Gauche porte ce que veut notre peuple. PRS et le PC peuvent être les artisans de cela.

Quelle union des Gauches souhaitez vous ?

Je ne sais pas quelles seront les limites de ce rassemblement, je ne veux pas mettre d’a priori, je ne veux pas mettre de frontière. Je crois que si on se met d’accord sur un projet, c’est-à-dire des réformes démocratique, une ambition sociale. Je crois à partir de là, on peut construire un rassemblement et le traduire lors des échéances électorales mais allons-y maintenant, faisons-le. Je crois que la convention a été une belle étape.