Le Parti de Gauche en progrès et à l’offensive pour son 3ème congrès

mercredi 27 mars 2013.
 

Comme plus d’un millier de camarades représentant 12000 adhérents, j’ai rejoint Bordeaux ce 22 mars 2013 pour l’ouverture de notre 3ème congrès. L’après midi et la soirée ont été consacrés :

- au discours d’ouverture de Jean-Luc Mélenchon

- aux rapports de la commission des débats

- à des parties habituelles et indispensables de tout congrès

- aux rapports et votes sur les amendements consacrés aux statuts

22, 23 mars 2013 Naissance d’une force anticapitaliste et citoyenne : le Parti de Gauche

Dans son discours d’ouverture, Jean-Luc Mélenchon a particulièrement insisté sur la situation de crise vécue par l’Union européenne en raison de ses choix économiques privilégiant l’intérêt des 15% d’Allemands disposant d’une retraite par capitalisation dont ils imposent la valorisation financière à toute l’Europe, en particulier par un euro fort. Il a également développé les questions stratégiques auquel le Front de Gauche est confronté d’ici 2014 avec les élections municipales et européennes.

Jean-Christophe Sellin a présenté le rapport de la commission des débats sur la plateforme politique de ce congrès, déjà plus riche et plus précise à mon avis que celles celles émanant des congrès précédents.

Manuel Bompart a décortiqué les amendements concernant les statuts et la procédure proposée au congrès pour trancher sur 8 points de désaccords dont :

- lancer ou pas le processus d’élaboration d’une nouvelle déclaration de principes

- différencier ou pas nos statuts d’un règlement intérieur

- étendre les dispositifs de révocation à l’ensemble des mandats internes au Parti de Gauche

- élire ou non en assemblée générale départementale un secrétariat fédéral complémentaire de la coordination départementale

- maintenir ou diminuer le nombre de membres du Conseil national et du Bureau National

De 16h30 à 18h30, les débats ont été approfondis en petits ateliers d’environ 15 participants chacun.

Parmi les parties habituelles et indispensables de tout congrès, signalons :

- l’élection du bureau de congrès

- l’ovation qui a accueilli notre trésorière nationale si efficace dans des conditions difficiles : Marie-Pierre Oprandi lorsqu’elle est montée à la tribune pour présenter le rapport de la commission de contrôle financier

- le vote du quitus financier

N’oublions pas la première intervention d’une délégation étrangère : celle du président de la Mission Palestine en France dont l’intervention a été particulièrement intéressante et particulièrement applaudie par tous les délégués debout !

Jacques Serieys


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