22 au 27 septembre 1918 Grand soulèvement bulgare de Radomir

lundi 15 octobre 2018.
 

La Bulgarie entre 1918 et 1923 fait partie des principaux bilans à connaître de la période 1917 à 1925.

La paix de rapine imposée par lʼimpérialisme allemand aux Soviets à Brest avait pour un temps étouffé les aspirations des masses. La Finlande rouge lʼavait appris à ses dépens en avril. Mais lʼeffondrement militaire des puissances centrales relança avec une vigueur toute nouvelle le processus révolutionnaire. Fin septembre la révolution frappait à la porte du maillon faible de lʼalliance austro-allemande : la Bulgarie.

De conflit inter-impérialiste opposant la Triple entente au bloc austro-allemand, la Première Guerre mondiale devint rapidement un conflit pan-européen. Au gré de la pénétration des capitaux des grandes puissances dans les économies nationales, mais aussi des inimitiés qui les opposaient les unes aux autres, les États balkaniques durent rapidement choisir leur camp. Par la grâce de lʼépargne allemande, le vieil empire ottoman rejoignit ainsi les rangs des puissances centrales dès la fin 1914. La Roumanie et la Grèce – jeunes nations où le sentiment anti-turc, nourri par des siècles dʼoccupation ottomane, était encore prégnant – firent, elles, le choix de lʼEntente, respectivement en 1916 et en 1917.

Le royaume bulgare avait précédé ses voisins sur une toute autre voie. Outre sa position de débouché naturel des produits austro-allemands et lʼascendance germanique de la dynastie régnante, le passé récent joua un rôle décisif dans son choix. Côté bulgare, lʼennemi nʼétait en effet plus tant la puissance ottomane vermoulue que la jeune nation serbe en plein essor. La Seconde Guerre balkanique (1913) avait irrémédiablement séparé les deux nations slaves deux ans auparavant. Lʼentrée en guerre de la Bulgarie du côté des puissances centrales nʼétait en lʼespèce quʼun nouveau chapitre dʼun conflit en cours.

La guerre côté bulgare

En déclarant la guerre à lʼEntente, en septembre 1915, le roi Ferdinand ne pouvait imaginer que cette décision allait précipiter, trois ans plus tard, lʼeffondrement de son royaume. Toutefois, le vieux souverain dut vite constater que lʼUnion sacrée avait fait long feu. Deux partis sʼopposèrent en effet résolument à lʼentrée en guerre : le parti socialiste « étroit » (tesniak en bulgare), qui avait rompu en 1909 avec son frère ennemi « large » accusé de dérive chauvine, mais aussi – et surtout – lʼUnion agrarienne dont lʼinfluence sur les masses paysannes était sans égale.

À lʼannonce de la mobilisation générale, les tesniaki proclamèrent courageusement que ce qui jetait les peuples balkaniques « dans une guerre fratricide » nʼétait rien dʼautre que « les intérêts capitalistes et dynastiques ». Peu auparavant, le journal de lʼUnion agrarienne affirmait que « sur la Bulgarie et son gouvernement pèse un seul devoir. Éviter toute implication. Préserver la maison des flammes ». Et le parti paysan de condamner « toute aventure du gouvernement »1. Fait unique dans les Balkans, la monarchie bulgare entrait dans le conflit avec, sur ses arrières, une double opposition qui avait le soutien, non seulement de la jeune classe ouvrière organisée dans les syndicats tesniaki, mais aussi de lʼessentiel des couches paysannes. Ferdinand et ses ministres sʼengageaient donc dans le conflit mondial contre lʼavis de lʼénorme majorité de la population !

Le pouvoir se résolut rapidement à faire taire lʼopposition. Stambolisky, le leader paysan dont lʼautorité était grandissante en raison de son combat contre la guerre, fut accusé de trahison en décembre 1915. Il écopa de la réclusion à perpétuité et fut jeté en prison. Son auréole dʼami du peuple nʼen devint que plus grande. La virulence de la monarchie bulgare contre le premier de ses ennemis sʼexplique en partie par les premiers signes dʼinsoumission au sein de lʼarmée. Dès le 5 octobre en effet, des soldats de la 27e brigade de Tchepino sʼétaient mutinés. Nombre dʼentre eux furent finalement fusillés. Un an plus tard, le 21 décembre 1916 arriva à Sofia une dépêche alarmante annonçant que les soldats de la 25e brigade de Dragoman refusaient de traverser le Danube, car cela revenait selon eux à envahir un territoire étranger. Très rapidement, lʼagitation toucha plusieurs autres régiments. Mais la répression ne tarda pas à frapper et Yossef Belcher, le chef des insurgés, fut contraint au suicide.

Malgré lʼéchec de ces deux mutineries, les appels à la révolte font de nouveau florès dans les tranchées courant 1917. Les soldats de la 5e division furent par exemple des milliers à lire un tract sʼachevant de la sorte : « Nous avons des armes et, dans chaque bataille, nous perdons des milliers dʼhommes. Mais si nous sacrifions volontairement quelques-uns, quʼen serait-il ? Allons, chers camarades, boutons dehors ceux qui ont vendu notre chère patrie. Pour la Bulgarie libre, pour la liberté ! Vive notre protecteur Alexandre Stambolisky ! »2

Le drame se noue

Cʼest en 1917 que le tribut dû à la guerre et à ses instigateurs devint intolérable à la masse de la population. Au dire du dirigeant agrarien Raïko Daskalov, « on exploitait femmes et enfants. Des commandos solidement armés de réquisition razziaient la campagne. Les uns mouraient, dʼautres sʼenrichissaient, le peuple entier fut réduit à la misère. Ainsi surgirent les nouveaux millionnaires »3. En raison dʼune forte hausse des contributions indirectes, lʼinflation devint galopante et les pénuries alimentaires se succédèrent. Des émeutes de la faim éclatèrent dans le pays à lʼété.

À lʼinstar de ce qui se produisit en Allemagne et en Autriche-Hongrie, les négociations de Brest-Litovsk électrisèrent le pays. Le long du fleuve Seret où lʼarmée bulgare faisait face aux soldats russes, plusieurs scènes de fraternisation eurent lieu. Selon le révolutionnaire dʼorigine bulgare Tico Jossifort, « suite à des échanges entre une unité bulgare et le régiment des « Tirailleurs de Sibérie », sʼétablit une amitié qui dura une centaine de jours ». Lʼesprit pacifiste gagna alors un grand nombre de régiments. Le pouvoir entreprit de calmer lʼagitation en emprisonnant les leaders ouvriers. Cʼest ainsi que Georg Dimitrov, Todor Loukanov et Kosta Tsiporanov, trois députés tesniaki parmi les plus influents, furent inculpés pour « incitation à la désobéissance » et jetés en prison le 8 août. Selon de grands historiens hongrois, le parti des socialistes de gauche parvint toutefois à se faire « lʼinterprète des sentiments populaires [...]. Le 2 décembre 1917, un meeting tenu à Sofia enjoignait au gouvernement de conclure une paix démocratique conforme aux déclarations soviétiques »4.

Le général Gérov, le commandement en chef des armées, fut approché par des députés agrariens et Stambolisky révéla par la suite que cette démarche visait à encourager un coup d’État. Le général Gérov refusa lʼoffre de lʼUnion agrarienne, mais « dut reconnaître [par la suite] que les soldats étaient mal nourris, mal chaussés et épuisés au point de ne pas pouvoir tenir longtemps cette lutte inégale »5. Si en bas, on commence à ne plus pouvoir, il est clair quʼen haut, un changement de cap devient nécessaire.

Dernier élément du tableau : la débâcle roumaine de février 1918. Elle amena en effet les puissances centrales à dévoiler davantage encore leurs appétits impérialistes. La Bulgarie exigea la totalité de la Dobroudja, dont une partie lui avait été retirée en 1913, à lʼissue de la Seconde Guerre balkanique. Or, les Allemands tenaient à tout prix à jouir de cette riche région et, à lʼissue du traité de Bucarest, il fut convenu que le royaume bulgare nʼobtiendrait que la partie méridionale et que la moitié nord serait exploitée en condominium par les puissances centrales. Le mécontentement suscité par cette « victoire mutilée » provoqua une crise ministérielle – la dernière du règne du tsar Ferdinand.

Le 21 juin 1918, Malinov remplace en effet le très germanophile et impopulaire Radoslavov. Il dirige un cabinet composé essentiellement de démocrates et de radicaux. Malgré sa sympathie ouverte pour lʼEntente, il renonce à ouvrir des négociations immédiates, pourtant vivement attendues par lʼopinion publique, et continue la guerre du côté austro-allemand.

Le soulèvement de Radomir

Le 15 septembre, le corps expéditionnaire dirigée par le général français Franchet dʼEsperay perce le front oriental à Dobro Pôle. Cʼest le début de lʼeffondrement de lʼarmée bulgare. Le haut commandement tenta bien dʼarrêter les unités en retraite, de les regrouper et de les renvoyer au front, mais la masse de soldats refusa de se soumettre aux ordres. Si une partie des soldats désertèrent purement et simplement, désireux de retrouver leur foyer et leur champ, dʼautres décidèrent, au dire de Pierre Broué, « dʼen finir avec le régime et de marcher sur Sofia afin de punir le tsar Ferdinand et les politiciens responsables de la guerre »6. Les anciens comités clandestins de soldats, mis en place par les tesniaki fin 1915, avait retrouvé de la vigueur au lendemain dʼOctobre et jouèrent un rôle déterminant dans la rapide politisation de ce vaste mouvement de ras-le-bol. Du 22 au 27 septembre 1918, la mutinerie fait tache dʼhuile et touche la totalité des régiments stationnés en Macédoine jusque-là occupée. Selon Tico Jossifort en effet, « la désertion survenue à Dobro Pôle se transforma en soulèvement contre les fauteurs de guerre. Les « poilus » bulgares [...] nʼont pas jeté leurs armes, mais les ont retournées contre leurs chefs ». Bien plus quʼen Russie, cʼest en Bulgarie que la formule de Lénine appelant les classes populaires à « transformer la guerre impérialiste en guerre civile » trouva son application la plus pure. Même Illlitch ne fut pas totalement prophète en son pays...

Le 24 septembre, les unités rebelles qui sʼétaient formées en Macédoine depuis lʼavant-veille sʼemparèrent du siège du Grand quartier général de Kyustendil qui constituait par ailleurs un nœud ferroviaire de tout premier ordre. Les mutins se massent alors à Radomir. La capitale Sofia, distante dʼà peine 80 km, est directement menacée par les soldats révoltés contre cette guerre perdue qui nʼétait pas la leur.

Au même moment, Stambolisky est entendu, dans sa cellule, par le ministre de la Guerre venu le libérer. Le leader paysan exige lʼamnistie et lʼélargissement immédiat de tous les prisonniers politiques, ce quʼil obtient sans mal Mais cette première entrevue ne vise quʼà sonder le chef agrarien, dont le prestige est alors à son zénith. Le lendemain, il est convoqué par le tsar Ferdinand. Selon Tico Jossifort, lors de cette entrevue au sommet, « le roi consent à lʼarmistice et le dit à son adversaire agrarien ; mais en échange, Stambolisky sʼengage à aller à la rencontre des insurgés »7 pour les ramener à la raison. Alliance de circonstances entre le leader paysan et le régime monarchique ou jeu de dupe ? Difficile à dire, encore aujourdʼhui.

Étroitesse dʼesprit

Toujours est-il quʼaprès avoir refusé tout net dʼentrer dans le gouvernement Malinov, Stambolisky se rendit immédiatement chez Blagoev, le responsable tesniak le plus en vue. Nous connaissons la teneur de la discussion entre les deux chefs de lʼopposition pacifiste car un verbatim manifestement véridique a été rédigé un an après par le leader socialiste.

À Stambolisky affirmant : « Nous ne prendrons le pouvoir avec aucun autre parti, si ce nʼest le vôtre. Vous êtes forts en ville, nous le sommes à la campagne [...]. Quʼen pensez-vous ? », Blagoev répondit : « Le parti des tesniaki ne peut prendre le pouvoir avec lʼUnion agrarienne parce que les deux partis sont différents ». Malgré la morgue affichée par son interlocuteur, Stambolisky revint à la charge : « Nous ne sommes pas si différents de vous ; jʼadmets tout votre programme, sauf un point : celui concernant la petite propriété [paysanne] ». Repoussant dédaigneusement les pressantes offres agrariennes, le dirigeant ouvrier conclut la discussion de la sorte : « Soit, mais quand même, notre parti ne prendra pas le pouvoir avec vous ». Pierre Broué ne pêche pas par exagération quand il parle du « refus catégorique » auquel se heurta Stambolisky8...

Selon de grands historiens bulgares, le parti tesniak « nʼavait pas estimé à sa juste valeur les capacités révolutionnaires des paysans qui constituaient lʼénorme majorité des séditieux. Seul Georg Dimitrov insistait, de sa prison, pour que les socialistes de gauche rallient la sédition militaire »9. Celui que Staline allait plus tard bombarder Président de la IIIe Internationale revint, dans ses écrits de vieillesse, sur la terrible dérobade de son parti dʼalors. Selon lui, ce dernier « érigea lʼaction indépendante en dogme, niant toute entente avec dʼautres groupes politiques, dans quelque condition que ce soit ». Le plus habile des staliniens roumains de dénoncer par ailleurs la sous-estimation, par ses aînés, du « rôle de la paysannerie, en tant quʼalliée de la classe ouvrière dans la lutte contre le capitalisme ». Dimitrov conclut cette belle lecture rétrospective en affirmant, en guise dʼépitaphe, que, malgré ses grandes qualités, le parti tesniak « ne sʼavéra pas à la hauteur de sa tâche » lors du soulèvement de Radomir10. Cʼest le moins que lʼon puisse dire !

Lʼéchec

Le 26 septembre, comme convenu, Stambolisky, flanqué de son bras droit Raïko Daskalov, se porte au-devant des soldats insurgés avec les autres membres de la délégation dépêchée par un pouvoir aux abois. Sans surprise, une première entrevue avec les mutins de Radomir se passe mal. Cʼest le lendemain que lʼinattendu se produit. Probablement exalté par lʼampleur du soulèvement, Daskalov proclame de son propre chef la République sous les vivats des mutins et il en confie la présidence à son camarade de parti, Stambolisky, contraint dʼaccepter le fait accompli.

Quand la nouvelle de la déchéance du tsar Ferdinand parvient à Pernik, à 30 km de Sofia, Daskalov transmet aux ouvriers de la ville minière un appel les exhortant à rejoindre ce qui est devenu un soulèvement anti-monarchique. Deux parlementaires tesniaki apportent la réponse du Comité central de leur parti : la neutralité. Une nouvelle fois, les « étroits » manifestent avec éclat leur effroyable étroitesse dʼesprit. Eux qui luttent pour le « socialisme » intégral ne veulent pas se mélanger avec ces paysans en uniforme qui se contentent de se mobiliser pour la « république » et la « démocratie »...

Lʼhistorien R.J. Crampton commet une grave erreur dʼinterprétation quand il affirme que Stambolisky, isolé, en fut réduit à « gagner le soutien des tesniaki en vue dʼune révolution à grande échelle ». Cʼest au contraire la dérobade sectaire des socialistes de gauche qui isola le mouvement des soldats et amena Daskalov à sʼengager dans une fuite en avant velléitaire. Lʼarmée des insurgés, qui comptait 10 000 hommes, entra dans les faubourgs de Sofia le 29 septembre, mais le pouvoir avait eu le temps de se ressaisir. Au moment même où Daskalov proclamait la République, le 27 septembre, l’État bulgare était entré en relation avec le commandement de lʼArmée dʼOrient et arrachait deux jours plus tard la conclusion dʼun armistice humiliant. Comme le souligne – cette fois à juste titre – Crampton, « lʼéchec de la rébellion de Radomir est avant tout dû au fait que le principal objectif des mutins – la fin de la guerre – était atteint une fois lʼarmistice conclu »11 .

Coupés des masses en raison de lʼabstention des tesniaki et de la fin des hostilités négociée précipitamment par le pouvoir, les insurgés sont bien incapables de soulever les classes laborieuses de Sofia. Dans le village de Vladaïa, ils sont taillés en pièce par un corps dʼarmée supérieur en nombre et en armement. Selon Tico Jossifort, certains tentent de « se dissimuler en changeant leurs uniformes, dʼautres parviennent à rejoindre leurs villages ou prennent le maquis pour de longues années. Trois mille rebelles sont capturés, la plupart blessés, les autres épuisés et en piteux état. Des blessés sans défense sont achevés par dizaines et sans pitié »12.

Poussé vers la sortie par ses ministres et la totalité des forces politiques, Ferdinand abdique le 2 octobre en faveur de son fils Boris. Pour les classes possédantes, ce replâtrage dynastique restaurait définitivement leur ordre, que la mutinerie de Radomir avait un temps fait vaciller.

Cet article de notre camarade Jean-François Claudon a été publié (en version courte) dans la revue Démocratie&Socialisme de septembre 2018.

En Bulgarie, lʼhistoire se répète cinq ans plus tard. Au printemps 1923, le Parti communiste refuse en effet dʼappeler les travailleurs à défendre le gouvernement paysan de Stambolisky, aux prises à un coup d’État dʼextrême droite. Le leader agrarien, qui tentait dʼorganiser la lutte, est découvert, torturé et finalement décapité. Cette nouvelle dérobade des héritiers des tesniaki ne les empêchera pas dʼappeler quelques mois plus tard à une grève générale contre la dictature issue du putsch de juin. Il va sans dire que cette riposte à contretemps fut un fiasco et servit de prétexte au régime pour lancer une répression sanglante contre les militants ouvriers...

Pierre Broué, dans son monumental ouvrage sur lʼInternationale communiste, a des mots extrêmement durs à lʼencontre des leaders communistes et au premier chef de Blagoev. « Voilà des gens qui ont affirmé au mois de juin que les travailleurs nʼavaient aucun intérêt à défendre le régime de Stambolisky, qui ont empêché la résistance ouvrière au coup d’État [...], qui, de fait, ont saboté la défense et partagent la responsabilité de lʼexécution [...] du populaire leader paysan et de la mort de nombre de ses partisans, et qui, comme sʼil ne sʼétait rien passé, se soulèvent à leur tour moins de trois mois plus tard et appellent à lʼaide les amis de ceux quʼils ont laissés mourir en juin ». On reste confondu, selon lʼhistorien, « non seulement du sectarisme et du schématisme de la pensée des dirigeants bulgares, quʼon a déjà pu apprécier depuis le temps de la mutinerie de Radomir, mais de ce quʼil faut bien appeler leur bêtise »13.

Jean-François Claudon

Notes

Pour ces deux citations, voir Tico Jossfort, « La mutinerie de Radomir », Cahier du mouvement ouvrier n° 12 (décembre 2000 - janvier 2001), p. 36.

Sur ces révoltes de soldats, ibid., p. 38.

Ibid., p. 37.

Ivan Dujčev & alii, Histoire de la Bulgarie : des origines à nos jours, Histoire des nations 9, Horvath, Roanne, 1977, p. 390.

Pour cette citation, voir ibid., p. 390, confirmé par Tico Jossifort, op. cit., p. 39.

Pierre Broué, Histoire de lʼInternationale communiste. 1919-1943, Fayard, 1997, p. 53.

Pour les deux dernières citations, voir Tico Jossifort, op. cit., p. 39-40.

Voir ibid., p. 40-41 et Pierre Broué, op. cit., p. 53.

Ivan Dujčev & alii, op. cit., p. 391.

Voir Georgi Dimitrov, Œuvres choisies, Éditions sociales, 1972.

Pour ces deux citations, voir Richard J. Crampton, Bulgaria, Oxford History of Modern Europe, Oxford, 2007, p. 218 (cʼest nous qui traduisons).

Tico Jossifort, op. cit., p. 42.

Pierre Broué, op. cit., p. 333.


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