Porte-à-porte émancipateur, l’arme absolue pour combattre l’idéologie dominante et pour changer de système ?

samedi 17 septembre 2022.
 

Le porte-à-porte permet à une organisation politique notamment d’opposition d’établir un lien de communication directe avec les citoyens.

Le pouvoir politique ou économique en place n’a pas (ou peu) besoin d’un tel type de communication puisqu’il dispose de la quasi-totalité des médias pour s’adresser en permanence à la population. Le porte-à-porte constitue donc un outil privilégié pour la NUPES pour diffuser ses idées et son programme.

**

La mise en œuvre de politiques néolibérales destructives depuis 15 ans entraînant une multitude et diversité de conflits sociaux, un appauvrissement des classes moyennes et populaires, l’usage des réseaux sociaux et de chaînes Internet alternatives critiques n’ont pas empêché la progression des idées d’extrême droite et n’a pas empêché la réélection de Macron.

Malgré l’existence d’un programme commun de gouvernement de la NUPES, celle-ci n’a pu obtenir la majorité absolue à l’Assemblée nationale.

Sur le long terme comme sur le court terme on comprend ainsi l’extraordinaire puissance de l’appareil idéologique médiatique pour fabriquer le consentement de la majorité de la population à sa domination de classe.

On comprend aussi les limites de l’impact des conflits sociaux et des outils utilisés jusqu’à présent par l’opposition de la gauche de rupture pour neutraliser ce consentement qui peut prendre des formes diverses : du vote d’extrême droite à l’abstention par exemple.

*

Le porte-à-porte constitue un moyen privilégié non seulement pour faire la promotion d’un candidat à une élection comme le veut l’usage le plus fréquent mais aussi pour mettre en œuvre une éducation populaire émancipatrice arrachant la majorité de la population au joug de sa domination idéologique et des divers manipulations, notamment de nature émotionnelle, dont elle est victime.

Sans une pratique du porte à porte maillant tout le territoire, maison par maison, immeuble par immeuble, résidence universitaire par résidence universitaire, maison de retraite par maison de retraite, ferme par ferme, marché par marché, commerce par commerce, gare par gare, établissements scolaires par établissement scolaire,hôpital par hôpital, entreprise par entreprise, rue par rue commune par commune, la prise de pouvoir par une force politique alternative remettant en cause les intérêts fondamentaux de l’oligarchie dominante est impossible.

On ne peut venir à bout de la puissance de feu médiatique au service de la grande bourgeoisie sans une guérilla idéologique de terrain s’étalant en surface et en durée.

Et ce n’est pas en trois mois de porte-à-porte que l’on peut neutraliser 40 ans de diffusion incessante des idées néolibérales et d’extrême droite.

Je ne reprends pas ici tous les arguments mentionnés dans mon article :NUPES : un pour tous, tous pour un ! Contenus dans son paragraphe 1. 2 sur l’unité à la base. https://www.gauchemip.org/spip.php?...

Le contact entre les acteurs des forces politiques alternatives avec les citoyens à deux avantages : 1) il est interactif ; 2) il n’est pas soumis au cadrage et au truchement des grands médias déformants.

D’où selon notre point de vue, l’extrême importance, le caractère vital du porte-à-porte. C’est la raison pour laquelle en utilisant une dizaine de moteurs de recherche, nous avons essayé de faire un inventaire des articles ou vidéos intéressantes sur cette question cruciale du porte à porte.

Cette technique de communication de porte-à-porte se heurte à une difficulté majeure : la nécessité de disposer d’un nombre de militants suffisants pour accomplir ce travail dans la durée.

Une autre difficulté est culturelle : les militantes pratiquant le porte-à-porte le font souvent dans l’objectif de faire élire un candidat ou une candidate à proximité donc d’une élection.

Pratiquer le porte-à-porte avec l’objectif d’une conscientisation politique par l’éducation populaire, sans se poser pour autant comme l’avant-garde éclairée est beaucoup moins évident.

Cela nécessite aussi de sortir d’une vision à courte vue de la pratique politique : il ne s’agit pas essentiellement de conserver ou de gagner un siège dans quelconque assemblée mais surtout de changer de société.

Il ne s’agit pas non plus simplement de gagner les élections avec 51 % des voix mais d’obtenir une majorité suffisamment importante pour avoir un soutien populaire massif.

D’où la nécessité de transformer les représentations sociales de l’imaginaire politique des citoyens en profondeur. Et cela ne peut pas se réaliser par des slogans, des jugements à l’emporte-pièce, de dénonciations superficielles.

Et la se heurte à une seconde difficulté : la nécessité d’assurer un haut niveau de formation politique aux militants. Le PCF l’avait bien compris hier, LFI l’a bien compris aujourd’hui mais il lui faut continuer dans la même voie car le compte n’y est pas encore.

Chaque composante de la NUPES ne dispose pas en 2022 des forces militantes pour tisser un maillage national total.

Mais la mise en commun de leur potentiel militant dans des groupes d’actions au niveau d’une ville, d’une circonscription, d’une fraction de département permettrait une augmentation sensible de sa capacité d’action idéologique. L’existence d’un programme partagé de 650 mesures rende dorénavant possible une telle action unitaire.

Ces effectifs pourraient être encore renforcés par la formation de parlements populaires locaux réunissant les forces précédentes et divers syndicats ou associations ou collectifs de citoyens.

Les 151 élus députés de la NUPES devraient consacrer une partie de leur budget–temps pour favoriser l’existence de tels groupes et des assemblés locales.

La mise en réseau local des différentes composantes de ce qui pourrait constituer un parlement populaire local est évidemment une nécessité pour organiser le porte-à-porte mais aussi éventuellement diverses actions locales points

Combien de militants théoriques possibles par commune ?

Il s’agit ici évidemment d’une moyenne car la population d’une commune à l’autre est très variable.

En arrondissant, il existe 35 000 communes en France. Lors de la première manifestation contre la réforme des retraites en 2020, le nombre de manifestants enregistrés par le ministère de l’intérieur est de 806 000.

On sait que ce genre de données est largement sous-évalué. Considérons la fourchette 800 000 – 1 million de manifestants qui pourraient être considérés comme militants actifs potentiels.

Cela correspond à environ 10 % du corps électoral de la nUPES. Cela correspondrait à une fourchette de 23 à 29 militants potentiels par commune.

Autre manière de calculer : 1 million de militants pour 47 millions d’électeurs, cela signifie qu’un militant devrait communiquer avec 47 personnes.

Si l’on divise par deux le nombre de militants ; un militant devrait communiquer avec 94 personnes.

Ces calculs n’ont aucune prétention scientifique mais ont simplement pour but de montrer qu’en faisant preuve d’une volonté politique unitaire déterminée et persévérante, ces ordres de grandeur montrent qu’un tel maillage du territoire n’est pas totalement irréaliste. Passons maintenant à notre inventaire.

**

**

La technique du porte-à-porte : une efficacité prouvée.

Source : Contrepoints (2013)

https://www.contrepoints.org/2013/1...

Porte-à-porte, Reconquérir la démocratie sur le terrain, de Guillaume Liégy, Arthur Muller et Vincent Pons, preuves scientifiques à l’appui. L’efficacité du porte-à-porte est manifeste dans la quête de nouveaux suffrages. Les candidats qui ont réhabilité cette technique lors de leurs campagnes l’ont tous emporté : Obama aux USA, Hollande en France…

l

Les résultats des expériences menées lors d’une campagne électorale par Alan Gerber et Donald Green sont éloquents : de toutes les techniques utilisées, c’est le porte-à-porte qui a le plus élevé la participation électorale, loin devant le courrier puis les appels téléphoniques. Grâce au contact direct entre les volontaires pour faire du porte-à-porte et les électeurs contactés de la sorte, la participation de ces derniers a augmenté de 12,8 points de pourcentage. L’effet des courriers n’est en revanche que de 2,5 points, et l’effet des appels téléphoniques quasiment nul.

*

Les démocrates US, le PS… Question : le porte-à-porte serait-il réservé à la « gauche », au sens large ?

Visant les minorités ethniques et les quartiers défavorisés, on pourrait le penser. Mais les auteurs de Porte-à-porte s’en défendent, et rappellent qu’Outre-Atlantique la technique a d’abord été remise au cœur de la stratégie du républicain George W. Bush et permis sa réélection en 2004.

A chaque parti de se réapproprier cette technique. C’est une technique militante mais par-delà les factions c’est la démocratie qui gagne. Le principe est de renouer le lien entre électeurs et candidats, citoyens et représentants, retrouver la confiance perdue et améliorer la participation politique.

Le problème est que la plupart des stratégies électorales sont fondées sur un préjugé, selon lequel l’abstention est une donnée sur laquelle il n’y a pas de prise. La plupart des responsables des partis considèrent en effet comme une perte de temps le fait de s’adresser aux abstentionnistes. Certains y voient même un risque : pousser aux urnes des personnes qui n’auraient de toute façon pas voté pour eux, et accorderaient alors leur suffrage à un adversaire. Mais en se concentrant sur les nouveaux moyens de communication comme l’envoi en masse de lettres ou d’e-mails, ils ne visent et ne peuvent en réalité toucher que les militants ou électeurs déjà engagés politiquement, déjà convaincus ou « convertis » – qui, à l’inverse, auraient de toute façon voté pour eux… Ils ne se rendent pas compte du manque à gagner, et gaspillent de précieuses ressources.

Deux stratégies fondamentales : persuader les indécis / mobiliser les abstentionnistes

« Si vous voulez être élu Président, adressez-vous à ceux qui ne votent pas » ! Voilà qui sonne comme un mot d’ordre. Pourtant, la stratégie peut sembler risquée. Au lieu de faire basculer les électeurs actifs situés au milieu du corps électoral, la bonne stratégie est de rendre actifs de nouveaux électeurs (clairement à droite ou à gauche).

Attention, il faut choisir entre l’une et l’autre : ces deux stratégies, persuasion des indécis OU mobilisation des abstentionnistes de son camp, sont en effet potentiellement rivales. Pourquoi ? Car le type de discours qui peut convaincre les électeurs les plus « durs » de son camp de voter en masse risque à l’inverse de faire basculer les indécis en faveur du candidat opposé. Il faut choisir, et – statistiques à l’appui – la stratégie de mobilisation apparaît globalement comme la meilleure.

La stratégie de mobilisation repose elle-même sur deux moyens, eux aussi potentiellement contradictoires, la mobilisation par le discours et la mobilisation par le terrain :

– La mobilisation par le discours consiste à mettre en avant des thèmes de campagne qui suscitent l’enthousiasme des électeurs de son camp et augmentent ainsi leur taux de participation ;

– La mobilisation par le terrain consiste à organiser en masse des actions militantes de terrain à destination des abstentionnistes de son propre camp.

La mobilisation par le discours risque de faire perdre d’un côté ce qu’elle fait gagner de l’autre. La mobilisation par le terrain comporte moins de risque : elle peut demeurer compartimentée, sans engager tout le discours de campagne. Mais elle demande des ressources très importantes : mobiliser des (dizaines de) milliers de volontaires requiert une organisation considérable et des moyens financiers, notamment pour les personnes responsables d’encadrer les volontaires.

Comment identifier la cible d’une stratégie de mobilisation par le terrain ? Collecter les résultats électoraux passés, et comptabiliser : le nombre d’abstentionnistes attendu dans son camp, et le nombre réel d’électeurs indécis. S’y ajoutent les abstentionnistes que l’on tente de mobiliser et la fraction d’électeurs indécis que l’on peut espérer persuader de voter pour son camp. Les résultats des élections précédentes sont utiles pour identifier les bureaux de vote comptant la plus forte proportion d’abstentionnistes. Attention aux évaluations trop optimistes : dans certains territoires, solidement ancrés à gauche ou à droite, les déterminants socio-démographiques ou historiques sont trop forts pour être effacés en quelques mois (la réalisation d’une campagne de terrain basée sur le porte-à-porte est de 3 à 4 mois environ, précédant les élections).

*

Quelles actions concrètes lors d’une session de porte-à-porte ?

L’objectif principal du porte-à-porte est le suivant : exprimer en des termes simples, à quelqu’un qui voit la politique comme un monde étranger, ce qui sera décidé par le résultat des élections et pourquoi sa participation est importante. Pour atteindre cet objectif, des sorties épisodiques de porte-à-porte ne sont pas suffisantes.

Par ailleurs, il faut lever certaines craintes typiques des militants débutants en porte-à-porte : faut-il être un spécialiste de tous les dossiers du parti et de tous les points du programme en détail pour convaincre efficacement ses interlocuteurs ? Non. En réalité, ce qui compte, ce ne sont pas les connaissances mais les convictions. C’est la raison pour laquelle n’importe qui peut le faire.

Il serait non seulement inutile mais même contre-productif pour des volontaires de préparer leur porte-à-porte en révisant le programme de leur candidat et en préparant des argumentaires correspondant à ses différentes propositions. Il faut remplacer les argumentaires « tout fait » par un authentique témoignage personnel. L’impact de celui-ci pourra être amplifié grâce à quelques techniques élémentaires de storytelling.

Par exemple, comment donner un contenu émotionnel à son message ? La clé est simple : parler de ses propres convictions, à la première personne du singulier (et pas forcément le « nous » abstrait), en choisissant des exemples concrets qui permettent à l’interlocuteur de s’identifier à son propos. L’erreur de la plupart des militants français est de recourir trop souvent voire exclusivement à des principes abstraits généraux ou à des formules « clichés » entendues à la télévision. Il est en effet jugé plus « noble » d’appuyer ses convictions politiques sur un discours argumentatif plutôt qu’émotif, et les personnalités politiques françaises de premier plan utilisent d’ailleurs très peu le storytelling dans leurs grands discours, à la différence des politiques américains. C’est une erreur.

Pour éviter ces erreurs, il faut donc bien se préparer, mais pas dans le sens que l’on croit, pas en apprenant par cœur des arguments détaillés en fonction de telle ou telle proposition thématique. L’entraînement doit notamment consister à pouvoir se livrer de façon naturelle et sincère dans une discussion spontanée (« small talking »). Le programme de formations mis en place pour le PS par les auteurs du livre Porte-à-porte comportait un atelier qui demandait à chaque participant de réfléchir aux origines de son engagement politique, aux raisons qui l’ont poussé à participer à la campagne puis de les exprimer de manière parlante pour tous. Nous retrouvons là tous les principes fondamentaux de la communication interpersonnelle, bien éloignés de la rhétorique politicienne et du marketing institutionnel.

Certains points spécifiques à la communication partisane doivent toutefois être envisagés, comme l’importance d’être « identifiable » au premier coup d’œil : badge et écharpe de couleur par exemple. Cela facilite l’entrée dans les immeubles et l’accueil des habitants. D’autres points relevés par les auteurs de Porte-à-porte concernent le format des interventions qu’il faut réaliser en grand nombre : discussion de 5 minutes maximum ! Si personne n’ouvre la porte, y glisser un tract, etc. (voir « Frapper aux portes ou comment mobiliser pour les prochaines élections », qui est devenu le premier manuel français de référence pour faire une campagne « à la Obama »).

Un programme spécifique de formation peut d’ores et déjà être mis sur pieds pour les prochaines élections municipales, au bénéfice de partis autres que le PS. Les petites structures ont d’autant plus à gagner d’une campagne de porte-à-porte pour se faire connaître auprès de la population, plutôt que chercher désespérément à exister médiatiquement.

**

Petits commentaires Hervé Debonrivage :

Dans le cadre d’une discussion ne faire référence qu’à un argumentaire abstrait est en effet discutable mais inversement ne faire référence qu’à une simple expérience de vie personnelle est tout aussi discutable. La bonne technique se situe probablement entre les deux.

Relier des situations particulières à un contexte social, économique et politique globale fait partie ici de l’art de la persuasion.

On retrouve ici la dialectique entre le particulier et le général ; entre le concret et l’abstrait.

Dialectique aussi entre la forme et le contenu c’est-à-dire entre l’enrobage émotionnel personnalisé et le contenu argumentaires du message.

Selon le schéma des six fonctions du langage du linguiste Jacobson, il s’agit ici de la mise en œuvre articulée entre la fonction expressive et la fonction référentielle du langage.

Voir Wikipédia sur le schéma de Jacobson :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sch%C...)

Vidéo : tutoriel de formation pour le porte-à-porte de La France Insoumise.

https://www.youtube.com/watch?v=uyM...

https://www.youtube.com/watch?v=WIU...

Porte à porte de LFI sur les punaises de lit https://lafranceinsoumise.fr/2019/0...

Porte-à-porte de LFI sur la loi travail.

https://www.youtube.com/watch?v=Sr9...

*

Guide du porte-à-porte LF I. Fichier PDF. https://lafranceinsoumise.fr/wp-con...

La consultation populaire. Tutoriel de LFI https://lafranceinsoumise.fr/nos-ca...

**

Commentaires HD

en consultant les exemples précédents, on constate que le porte-à-porte n’est pas exclusivement utilisé pour les campagnes électorales mais aussi pour aborder des sujets concrets concernant la vie des gens : les punaises de lit, la loi travail… à l’instar de des caravanes populaires.

*

**

Autres articles sur le porte à porte.

La France insoumise mise sur le porte-à-porte pour les élections présidentielles de 2022 (article 2 février 2022) Source : France Info

https://www.francetvinfo.fr/electio...

*

Faire campagne, porte à porte et réseaux sociaux source : Cursus.edu

https://cursus.edu/fr/10993/faire-c... *

Porte à porte pour gagner les élections ? Source : Cairn info

Ethnographie de la campagne présidentielle socialiste dans deux villes du Nord de la France Julien Talpin, Romain Belkacem Dans Politix 2014/1 (N° 105), pages 185 à 211

Il s’agit de comptes-rendus de porte à porte avec observation psychosociologique qui rend compte de la diversité des situations concrètes rencontrées et des différents comportements des habitants et des militants. Quelques statistiques utiles sont indiqués.

https://www.cairn.info/revue-politi...

* * * Porte-à-porte : les fondements scientifiques de la méthode. Source :Explain https://explain.fr/porte-a-porte-le...

* Le porte à porte du PS aux élections présidentielles de 2012 aurait fait basculer le vote FN vers le veut François Hollande dans un cas sur cinq. Source : l’express 2013 https://www.lexpress.fr/actualite/p...

* *

Le porte-à-porte électoral

Éprouver le professionnalisme politique

Michel Catlla

Dans Ethnologie française 2014/3 (Vol. 44), pages 537 à 549 Source : cairn info

https://www.cairn.info/revue-ethnol...

* Toc toc, la politique frappe à votre porte https://salle421.eu/2017/03/02/toc-...

*

Porte-à-porte : l’indispensable outil du candidat et de l’élu.

Source : plebiscit.fr

https://plebiscit.fr/blog/le-porte-...

* Conseil méthodologique pour le porte-à-porte

https://aceproject.org/main/francai...

*

La campagne électorale des élections municipales et le porte-à-porte (octobre 2020) Source : Le courrier des maires https://www.courrierdesmaires.fr/ar...

* Conseil pour le porte-à-porte d’Emmanuel Macron. Source : challenges. Octobre 2016. (Article distrayant) https://www.challenges.fr/politique...

*

**

Thématiques connexes Les effets des réseaux sociaux dans les campagnes électorales américaines Idris Fassassi Dans Les Nouveaux Cahiers du Conseil constitutionnel 2017/4 (N° 57), pages 69 à 86les. https://www.cairn.info/revue-les-no...

*

Un texte excellent :

La propagande « Pipole » : une forme déguisée de manipulation Alexandre Dorna Dans Humanisme 2010/3 (N° 289), pages 61 à 64 Source : Cairn info https://www.cairn.info/revue-humani...

* Guide de campagne électorale. PDF

https://www.campagnes-electorales.f...

** Hervé Debonrivage


Signatures: 0
Répondre à cet article

Forum

Date Nom Message