Ça n’arrête pas !

jeudi 11 janvier 2018.
 

Que l’adversaire se le dise : nous ne dormons jamais que d’un œil. Voici donc des lignes qui vagabondent sur des sujets de la semaine passée. Je n’en rajoute pas. Je me suis fait reprocher à l’Assemblée nationale d’annoncer des désastres comme si je les souhaitais. À mon invitation à nous rendre maîtres de nos destins, on m’a répondu avec les maximes de la grand-mère de monsieur Darmanin pourtant ministre « de l’action ». Selon elle, à force d’annoncer des malheurs, ils finiraient par arriver !

Les macronistes pensent que quand on parle d’un malheur, il arrive. Et sinon ? Il n’arrive pas ? Donc : plus un mot, en période dites des fêtes, sur les folies de Trump au Moyen-Orient et en Ukraine, rien sur la bulle financière prête à éclater, rien sur le dérèglement climatique. Car si ça se produit ça fera vraiment très mal. Vous avez compris que ce final de la session parlementaire m’a renforcé dans l’envie de me battre encore et toujours contre un monde mené de cette manière aveuglée. J’y crois. Que faire d’autre ? C’est la saison qui veut ça. Dorénavant, la lumière l’emporte sur la nuit à chaque tour de piste d’une journée. Inéluctable.

Ma pensée, et la vôtre je le sais, reste avec les pauvres gens à la rue dont la misère ne se contente pas du silence des puissants pour disparaître, avec les gamins à l’abandon dans le pays et dans la neige des chemins de passages de montagnes. Et une pensée pour ceux qui, ces nuits que voici, restent aux postes de travail pour nous tous.

2017 : La semaine de clôture

Pêche électrique : La pêche à la bombe atomique ? Ça vient

Salut les faux-culs de l’indignation sur le Venezuela !


Signatures: 0
Répondre à cet article

Forum

Date Nom Message