Après de nombreux changements où les promesses d’Estrosi étaient remises en causes nous avons enfin eu une réunion à la préfecture de Rodez. Cette dernière ne correspondait pas a ce que l’on avait demandé pendant la grève de la faim.
Cette réunion était composée des secrétaires généraux des préfectures de l’Aveyron et de celle du Lot, des 2 présidents des conseils généraux celui du Lot n’étant pas présent ni représenté, des 2 présidents de l’association des élus du Lot et de l’Aveyron, de Pierre Pantanella président du collectif aveyronnais de défense et de développement des services publics, de Dominique Espinnasse élu CGT au CE SNCF Midi Pyrénées, de moi-même et de deux représentant de la SNCF.
M. Vaillant de la SNCF a commencé par nous parler des améliorations apportées au service depuis que le changement à Brive s’effectuait et à faire un point sur les promesses faites le 4 décembre.
Après avoir prouvé point par point que la SNCF mentait, nous avons dit que nous étions à cette réunion pour proposer une solution alternative avec un retour immédiat d’un train direct de jour ce dernier se raccrochant au Cerbère Paris ; cette solution avancerait d’une heure le départ de Rodez et ferait arriver une heure plus tôt à Paris.
Nous avons également évoqué la possibilité de pérenniser cette liaison directe avec du matériel téoz. Jusqu’à maintenant la SNCF nous rétorquait qu’il n’était pas possible de couper ces derniers et là, elle a reconnu que c’était possible mais qu’elle ne le souhaite pas, nous expliquant que la SNCF n’était pas là pour faire de « l’épicerie fine ».
Sur le retour du direct la SNCF a dû accepter, à la demande du secrétaire général de la préfecture de l’Aveyron d’étudier notre proposition et d’y apporter une réponse pour la réunion du 5 mars.
Christophe Schimmel
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