Boris Vian, comme le fugitif, demande surtout qu’on lui laisse le temps de vivre, de dévaler la colline, de danser, de sauter, de cueillir, de rire, de courir vers la femme...
ce poeme est un des plus merveilleux que je conaisse, parce qu’il nous conduit dans un souffle progressifn a ressentir ce besoin instinctif qui nous donne la force et la joie de vivre !