Ce corps d’élite, qui n’est pas à l’abri des contradictions traversant la société, est un acteur politique et surtout économique et financier de poids.
« Si les gardiens de la révolution (les pasdarans) n’existaient pas, le pays n’aurait jamais existé », déclarait son fondateur, l’ayatollah Khomeyni. Loin de certains clichés les présentant comme une simple organisation paramilitaire, cette institution, colonne vertébrale du régime chiite, dépendante du (...)