PRS : On s’est connu pendant la campagne du non au référendum. Penses-tu que le travail du 29 mai est terminé ?
"On a réussi à dire « non » ensemble, maintenant il faut dire ce pour quoi nous sommes. C’est certainement le plus compliqué, car cela suppose de passe au stade électoral, et c’est plus compliqué !
Mais très sincèrement, il se passe quelque chose en ce moment qui me fait penser que le dynamisme et la force de propulsion du 29 mai sont toujours là, et chacun (...)