Le procureur de la république de Cahors a décidé de faire appel au jugement du 20 mars ou a été prononcée la relaxe des neuf cités à comparaître pour entrave à la circulation en gare de Gourdon.
Ainsi l’Etat, en donnant l’ordre au procureur de faire appel au jugement, choisit la provocation et la répression. Il prend le risque d’une explosion. A l’heure où les média participent à une grande manipulation sur la violence des salariés, on voit bien d’où vient la (...)