Depuis plusieurs semaines une crise financière mondiale secoue le système capitaliste. Cette fois l’épicentre se trouve aux États-Unis. Les banques, les compagnies financières, les assurances, les fonds de pensions : tous ne meurent pas, mais tous sont frappés. La crise n’arrive pas comme une tempête soudaine sur une mer calme. Ses causes sont à chercher dans la nature du capitalisme. Ce dernier cherche le profit là où il est sensé être le plus important, de plus le capitalisme (...)