Variable d’ajustement
30 juillet. 20 heures. Je m’arrête dans un restaurant d’une aire d’autoroute entre Limoges et Toulouse.
Nous sommes 5 ou 6 clients. En plein pic estival, les touristes et autres automobilistes ne fréquentent quasiment plus les restos. Seuls les établissements de luxe et les parcs d’attraction s’en sortent.
La serveuse est épuisée : elle travaille depuis six jours, de 14 heures à 1 heure du matin. Pourquoi ? Parce que les bénéfices (...)