On connaissait déjà les dérives de Tony Blair. On a pu constater navrés le choix du SPD allemand d’engager une grande coalition avec la droite, plutôt que de former un gouvernement de rassemblement de gauche, alors que cette dernière pouvait être majoritaire. On a du sanctionner radicalement l’alliance récemment nouée par les sociaux-démocrates slovaques avec des partis d’extrême-droite, et protester contre les accords locaux des "camarades" autrichiens en Carynthie avec (...)