Sous les applaudissements, de Sarkozy à Rocard, voilà Laurence Parisot qui s’attaque courageusement aux patrons voyous. Et tout le monde, ou presque, d’applaudir la nouvelle chevalière blanche qui va nettoyer les écuries d’Augias et moraliser le capitalisme. C’est oublier l’hymne à la précarité dont notre héroïne faisait un principe essentiel, en amour et dans le travail. C’est surtout ne rien comprendre au capitalisme réellement existant.
Commençons par (...)