Décembre 2005, Evo Morales arrive au pouvoir concrétisant politiquement un cycle de luttes sociales initié en 2000 avec la guerre de l’eau qui voyait la population de Cochabamba se mobiliser pour rejeter la privatisation de l’eau.
Mais malgré sa victoire dès le premier tour avec près de 54 % des voix, Morales a du rapidement faire face aux critiques de l’opposition. Aux vieilles rengaines de la droite (risque de fuite des capitaux et d’un faible investissement, (...)