En cette journée anniversaire du Non à la Constitution européenne, j’ai entendu du matin au soir les mêmes questions. Elles n’étaient pas destinées a éclaircir la situation c’est le moins que l’on puisse dire. Trois types se remarquait. Godillots à crampons "Qu’est devenu le plan B que vous aviez promis ?" Fausse angoisse décliniste : "Avez-vous conscience d’avoir affaibli la France ?" Perfide : "Comment se fait-il que le Non de gauche ne propose pas un (...)