Qu’un proche d’Éric Zemmour et Marion Maréchal Le Pen, capable de faire condamner son journal pour insulte raciste à l’égard de ma collègue Danièle Obono, dépeinte en esclave [1], ou de propager sans fard des fausses nouvelles [2], puisse diriger la rédaction d’un titre qui donne le la de l’actualité du dimanche est malheureusement un signe des temps.