Un an après le non au référendum sur le Traité constitutionnel européen, interprété à l’époque comme un cinglant désaveu pour la classe politique française, celle-ci semble toujours à la recherche de réponses pour surmonter une crise de confiance qui n’a fait que s’approfondir.
Le président de la République, à l’initiative de ce référendum, et qui avait été considéré comme le grand perdant du scrutin du 29 mai 2005, ne s’en est jamais relevé.
Non seulement il (...)