La vieillesse s’emparant de plus en plus de moi, mais ayant gardé un goût immodéré pour les facéties, façon de la conjurer, je me suis livré à un petit exercice littéraire. Je me suis permis, ô sacrilège, de démarquer soigneusement le célèbre monologue de Don Diègue, dans le Cid de Corneille. Évidemment, dans un sens plus conforme à mon parcours.
Ce faisant, sauf à deux endroits, je n’ai pas trahi la prosodie du texte. Ce ne sont que des alexandrins. Mais deux vers comportent (...)