Divisés sur bien des sujets, les socialistes sont au moins d’accord sur un point. Tous jugent leur parti incapable pour l’heure de s’opposer. A partir de ce diagnostic unanime, le débat pourrait s’engager sur les causes du mal. Il est à peine engagé. Certains accusent le "sabir" abscons du PS, ses statuts, ses éléphants, l’âge du capitaine ou celui des lieutenants, le silence sur les "vraies questions que se posent les Français"... Mais rien n’est dit du (...)