L’agression de trois Guinéens, en août 2020, n’est que la partie émergée du problème de tolérance à l’égard des violences d’extrême droite en Allemagne. Les scandales de collusion entre les réseaux néonazis, la police et l’armée se multiplient, jetant le doute sur l’efficacité des services de renseignement.