« Sera puni d’un mois à six mois de prison et d’une amende de 100 à 5 000 francs quiconque, dans un but de propagande anticonceptionnelle, aura décrit ou divulgué ou offert de révéler des procédés propres à prévenir la grossesse » : adoptée par une chambre « bleu horizon » (c’est-à-dire de droite) pour lutter contre la dénatalité après la Première Guerre mondiale, la loi de 1920 ré-prime strictement la propagande anticonceptionnelle et l’avortement. Préservatifs (...)