La découverte, à la fin du mois de mars de l’année 1868, de restes humains, de coquillages percés et de silex taillés par des ouvriers travaillant à la construction d’une route reliant le village des Eyzies au bourg de Tayac en Dordogne, suscite un engouement fiévreux qui ne s’est pas démenti depuis.