La droite italienne a beaucoup appris de Nicolas Sarkozy. Surtout Gianfranco Fini, qui veut faire d’Alliance nationale, héritière du MSI néofasciste, un grand parti conservateur.
Bush, le néoconservateur, lui a serré la main. Mais Gianfranco Fini, l’ex-néofasciste du Mouvement social italien (MSI), aujourd’hui président d’Alliance nationale (AN), a fait mieux : il a préfacé les éditions italiennes de deux récents ouvrages de Nicolas Sarkozy, La République, les (...)