La survie à crédit mondial du capital, dans ses monopoles, ses entreprises industriello-financières, ses États nationaux et ses institutions internationales et les familles elles-mêmes, est arrivée à un tel point qu’on peut supposer qu’une récession mondiale est inévitable et qu’une prise de pouvoir d’une « gauche communiste et communisante » s’effectuera dans cette récession.