Le parti de l’argent roi actionne les manettes de la Banque centrale européenne pour asphyxier le pays. Le président de la Commission de Bruxelles affirme, sentencieux, qu’il ne peut y avoir de choix démocratiques contre les traités européens. Il ne dit pas que ces traités sont imposés de force à des populations qui, comme en France, aux Pays-Bas et en Irlande, les ont rejetés.