Le 21 avril 2002, l’échec de Lionel Jospin laisse Chirac et Le Pen face à face pour le 2ème tour des présidentielles. Comme en 1993, quelques éditorialistes en profitent aussitôt pour sonner le glas de la gauche et du socialisme.
Heureusement, une immense mobilisation antifasciste des jeunes remet les pendules à l’heure. La France profonde n’est pas prête à jouer son avenir entre les salons du MEDEF et les commémorations pétainistes ; elle vient d’en administrer (...)