Les célébrations nationales du déclenchement de la Première Guerre mondiale semblent être passées à l’essoreuse de l’idéologie dominante.
Celle d’une sorte d’aseptisation pour bien en cacher les causes, les acteurs essentiels et les effets politiques de long terme. Ainsi, ceux qui font mine de commémorer Jean Jaurès le jeudi l’oublient définitivement le dimanche. Lui avait alerté sur les dangers de cette tuerie et avait tout fait pour mobiliser contre ses (...)