Le chef du service de gynéco-obstétrique d’un grand hôpital parisien, perçoit à ce titre un salaire de 8000 Euros net par mois versé par l’Assistance Publique. Mais il dispose en plus du privilège d’exercer son « art », dans le cadre d’une activité privée au sein de l’établissement. Il y facture la coquette somme de 120 Euros pour une consultation et réclame 1000 E. pour une ablation de l’utérus (Cf. Le Parisien du 25 janvier).
Ce statut particulier, (...)