Les élections du 6 mai dernier justifient amplement le message de résistance et de combat lancé par SYRIZA.
Le résultat en est un chamboulement du statu quo politique. Le peuple grec a voté massivement contre le parti de droite Nouvelle Démocratie (ND) et contre le PASOK parti de la social-démocratie.
Ces deux formations étaient les gardiennes du soit disant « Mémorandum », le contrat de prêt anti ouvrier passé entre le gouvernement technocratique du du Premier ministre Lucas Papademos, (...)