Par l’intermédiaire de la polémique sur la sortie du nucléaire, le « progrès » s’est invité dans la campagne présidentielle. « J’ai la tristesse d’entendre de plus en plus de discours remettant en cause l’idée même du progrès, y compris dans des domaines jusqu’à présent incontestés de notre pays, qui faisaient l’objet d’un consensus politique entre la gauche et la droite. » Passons sur un président qui pleure les consensus passés. (...)