Pour l’auteur, directeur de recherches au CNRS, la certitude de la catastrophe finale commence à se profiler. Le néolibéralisme, en effet, est un régime d’endettement généralisé : ménages, institutions financières, États. La crise menace de mettre à bas tout le système des institutions financières, car si la puissance publique a pu sauver les banques de la crise de la dette privée, il n’est pas certain qu’elle puisse y parvenir pour les dettes publiques.
Les agences (...)