Pour Sarkozy, digne représentant des intérêts de l’Europe libérale, il fallait au plus vite rassurer les marchés et obéir aux diktats de la Commission européenne. Il n’était donc pas question que le Parlement termine ses travaux annuels sans que soit voté dans les mêmes termes par les deux assemblées, le projet de révision de la Constitution cherchant à inscrire dans le texte fondamental de la République française le principe d’équilibre budgétaire, qu’il faut (...)