La France a pris, dans la crise, conscience de ce qu’est la mondialisation, cette inacceptable mise en concurrence des systèmes productifs, des protections sociales, des niveaux de salaires, et l’obligation de renoncement aux choix politiques libres des peuples. Elle nous est présentée comme un fait alors qu’il s’agit de choix que les gouvernements ont faits à l’insu des populations.
Plutôt qu’évoquer la peur - assez partagée dans les pays européens - (...)