On n’a plus le temps de se triturer la cervelle. Plus de temps à perdre à pronostiquer les échecs en enfilant les lunettes du savant professionnel de la révolution. Plus le temps de se regarder de travers en guettant une trahison de son voisin le plus proche, et de polémiquer sur la pureté des virgules. Plus le temps d’attendre le grand soir depuis son canapé et l’élévation miraculeuse des « niveaux de conscience », comme certains espèrent encore l’arrivée (...)