Décembre 2010 : la presse française sonne la charge contre Jean-Luc Mélenchon coupable d’avoir quitté la salle du Parlement européen au moment où celui-ci décernait son "prix Sakharov" (sensé récompenser un défenseur distingué des droits de l’homme, de la liberté de penser) à Guillerno Farinas, "dissident cubain".
J’approuve totalement cette attitude du président du Parti de gauche, et ce, pour plusieurs raisons :
* 1) La situation en Amérique latine :
C’est la (...)