Le vote final de la réforme des retraites au Parlement devait arrêter le mouvement. Personne ne sait en définitive ce qu’il en sera. Le spectre d’une mobilisation se poursuivant au-delà des délais « normaux » de la procédure parlementaire inquiète au plus haut point les cercles dirigeants. Les médiacrates se déchaînent pour dire que la démocratie commande d’obéir au vote des Assemblées.
La fin de chaque grève est annoncée avec plus de bruit et de fracas que ne l’a (...)