La crise grecque s’estompe au profit d’une crise monétaire et financière d’une grande ampleur. L’endettement de l’Etat grec n’était pas la question principale. Pourtant, la crise de « confiance » des marchés financiers envers les dettes souveraines – celles des Etats – était inscrite dans les modalités de résolution de la première crise financière, d’août 2007, qui avait vu l’intervention des banques centrales pour éviter les (...)