La situation née de la crise grecque s’approfondit de jour en jour. En effet, comme si la tonte du peuple grec ne suffisait pas, les marchés s’attaquent aujourd’hui au Portugal, à l’Espagne et à l’Irlande. Jean-Luc Mélenchon disait à propos de ces « marchés » qu’ « encouragés par l’impunité dont ils ont joui quand ils ont agressé la Grèce, et emballés par leur propre dynamique mortifère (ils) font suffoquer ce pays et engagent à présent leur ballet (...)