Trois jours après les pluies torrentielles, les inondations et les coulées de boue qui l’ont dévastée, faisant 42 morts et 32 disparus selon un bilan encore provisoire, l’île de Madère se demande si elle n’a pas payé, en l’espace de quelques heures, le prix fort de son miracle économique.
La violence avec laquelle des torrents d’eau et de boue ont dévalé les pentes de cette île volcanique, samedi 20 février, détruisant des maisons, coupant des routes et (...)