Une fois encore, les autorités françaises et les 1450 hommes du dispositif « épervier » tiennent à bout de bras le dictateur tchadien, Idriss Déby.
Il faut du culot pour prétendre, comme l’a fait le ministre de la défense, que « la France est neutre » dans cette nouvelle guerre. En 2006, ce sont les bombardements des avions français, déployés au Tchad, qui avaient évité que le régime de Déby ne soit renversé. Aujourd’hui, les mirages ont été « mis à l’abri », dans un pays (...)