Il aura fallu deux jours de discussions intenses et directes entre vingt-sept chefs d’Etat ou de gouvernement pour parvenir à un texte au statut juridique flou, dit "Accord de Copenhague". Cette déclaration de trois pages n’était même pas, samedi 19 décembre en début de matinée, formellement adoptée par l’ensemble des participants à la conférence sur le climat de Copenhague.
Son contenu est loin d’être à la hauteur des attentes que la conférence avait soulevées : (...)