« Il n’y a pas d’alternatives à notre politique », ne cesse de répéter Éric Besson depuis qu’il a pris les rênes du ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale, il y a onze mois. Les charters vers l’Afghanistan, le démantèlement de la « jungle » de Calais, la chasse aux sans-papiers et à leurs soutiens, les quotas d’expulsions ne seraient donc pas des choix idéologiques mais une nécessité. À entendre le ministre, le gouvernement serait le (...)