Suède. Une étude compare les destinées de 12 000 élèves.
Les railleries et mauvais coups des camarades de classe au collège peuvent-ils finir par ruiner la santé ? Ylva Almquist, thésarde au Centre d’études sur l’équité en matière de santé, à l’université de Stockholm, s’est penchée sur le cas de plus de 12 000 Suédois, nés en 1953 à Stockholm. Ses conclusions : « Moins un enfant est populaire au collège, plus il a de risque de tomber malade une fois adulte. »
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