Le 30 octobre 2018, Adrien Quatennens interrogeait le gouvernement sur le devenir de l’aciérie Ascoval de Saint-Saulve où 281 salariés travaillent sont suspendus à la décision qui doit intervenir le 31 octobre.
https://www.youtube.com/watch?time_...
Clémentine Autain, députée La France insoumise de Seine-Saint-Denis était l’invité de "Et en même temps" dimanche.
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https://www.bfmtv.com/mediaplayer/v...
A Saint-Saulve, dans le Nord de la France, l’usine Ascoval est un point d’appui essentiel pour toute la filière sidérurgique française. L’acier spécial qui y est produit constitue un levier stratégique pour faire la planification écologique. Vallourec, actionnaire à hauteur de 40% et dont l’Etat détient 16% du capital refuse de faire l’effort financier qui permettrait de consolider la reprise du site par le groupe franco-belge Altifort.
Alors que les 280 salariés de l’usine attendent ce jour une décision de justice qui tranchera sur l’avenir de l’aciérie, la situation d’Ascoval met l’Etat au pied du mur :
Est-il en mesure de contraindre la direction de Vallourec à assumer ses responsabilités et, à défaut, de prendre les siennes en nationalisant Ascoval ?
Un court sursis pour les 281 salariés de l’aciérie Ascoval, située à Saint-Saulve (Nord). La chambre commerciale du tribunal de grande instance de Strasbourg a décidé un renvoi au 7 novembre, ont indiqué des représentants de la direction et du personnel d’Ascoval à l’issue de l’audience. Ce délai doit permettre de valider le dossier de reprise d’Altifort et de trouver un accord avec Vallourec, ont-ils expliqué. Alors, existe-t-il encore de l’espoir pour cette usine ? - On en parle avec : Pascal Cochez, industriel valenciennois et candidat à la reprise d’Ascoval. Et Nathalie Delabre, membre de l’intersyndicale et déléguée CFE-CGC Ascoval.
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