Interview réalisée début juin 2009.
Comment expliquez-vous le « trou d’air » du NPA, selon l’expression de Pierre-François Grond, l’un de ses dirigeants ?
Christophe Bourseiller. Lorsque la LCR s’est transformée en NPA début 2009, on pouvait imaginer que l’on allait assister à une mutation, dans un sens d’ouverture. Le NPA semble pourtant paradoxalement en recul idéologique, par rapport aux avancées de la LCR. La façon dont a été réglée la dissidence de (...)