29 janvier, 19 mars, 1er mai,… les mobilisations sont fortes (on l’espère pour le 1er mai), mais avec un rythme espacé. Ce rythme vous convient-il ?
J-C.M. La crise est longue, personne ne sait à quel moment elle va se terminer. Nous, à FO, nous considérons qu’on ne peut pas appeler à des journées de mobilisation de ce type à répétition trop fréquemment. Que faut-il faire ? Plusieurs pistes sont en débat dans l’intersyndicale, le dernier communiqué intersyndical en (...)