Cette triste fin de semaine aura vu la France, bonnet phrygien entre les jambes, rentrer au bercail, après ce qui ne restera, finalement, que comme une fugue de quarante années. Elle aura aussi confirmé que l’impérialisme étasunien n’a pas baissé la garde, bien au contraire. Tout le monde, en Europe, en « Occident », est désormais rentré dans le rang. Sous couvert d’une histoire personnelle sympathique, l’Empire a décidé de conclure, au cours des deux prochains (...)