Quand les chargés de communication – pardon : les responsables des rédactions – de la télévision disent tout haut ce que l’on sait déjà plus ou moins, mais qui n’atteint pas toujours nos cerveaux pourtant disponibles, ceux-ci s’émerveillent.
Ce fut le cas à la lecture d’un article de Pierre de Boishue paru dans Le Figaro du 5 décembre 2008 et titré – c’est déjà tout un programme – « Les experts et les analystes, valeurs sûres de la (...)