Membre du parti socialiste pendant 30 ans, le sénateur de l’Essonne vient de lancer son propre mouvement lors d’un meeting organisé le 29 novembre. En pleine discussion avec le PC et le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) pour créer un front de gauche aux européennes, il se confie à Valeurs actuelles.
Pourquoi avez-vous attendu 2008 pour quitter le PS, alors que le divorce idéologique était flagrant dès 2005 ?
En 2005, pour la première fois, les socialistes se sont affrontés (...)